Introduction
Le sujet est le premier élément qui structure l’ensemble d’un mémoire en écologie et environnement. Il définit de manière précise le domaine et offre une vue d’ensemble de la réflexion à adopter pour l’étudiant. Cette première est complexe car définir un sujet demande une connaissance du contexte actuel, des savoirs scientifiques et une compréhension de la réalité.
Exemples de sujets pour un mémoire en écologie et environnement
Etude de cas : invasion des frelons asiatiques et déclin de la population des nids d’abeilles.
C’est un sujet répétitif mais qui mérite toujours une attention particulière surtout dans le contexte de la pollution environnementale. La principale priorité est de préserver les abeilles donc éliminer les ennemies potentielles comme les frelons asiatiques. Notons également qu’un groupe de frelons de 30 individus peuvent tuer des milliers d’abeilles en une seule journée.
Exploration humaine et bouleversement des zones naturelles vierges : cas des cavités inexplorées.
L’humain a cette manie de sur-chercher au point de vouloir explorer les endroits les plus cachés. C’est le cas des cavités. Leur exploitation soudaine ou systémique trouble l’écosystème local, car celui-ci est différent de l’écosystème en surface. La présence de nouvelles bactéries (apportées par l’humain) perturbe cette nature intacte.
Ethique sur le clonage et la génétique pour la conservation des tigres, espèces menacées.
Les tigres, en nombre dégressif, sont menacés et disparaitront d’ici quelques dizaines d’années. Ce cas alarmant pousse les scientifiques à s’appuyer sur la génétique et le clonage pour la continuité de la lignée. Mais quelle éthique dans ce cas à l’égard de la nature et de notre compréhension de la conception naturelle ?
Conflits « loups-homme » et la problématique du partage de territoires (Prendre une zone spécifique pour l’étude de cas).
L’homme, de par sa nature, est fait pour « accaparer » ou « demeurer de force » dans un territoire donné selon ses besoins. De ce fait, il est confronté à d’autres espèces, maitres des lieux comme les loups. De notre point de vue, il sera question de gestion de conflits entre les deux espèces et apporter des clarifications sur l’occupation des zones.
Rôle de la forêt amazonienne dans l’équilibre du climat mondial.
La forêt amazonienne est l’une des zones vertes les plus protégées au monde. Dans le contexte écologique, elle reflète l’équilibre sur le plan environnemental. L’idée est de comprendre en profondeur son rôle sur plusieurs plan mais principalement dans la le contexte du réchauffement climatique.
Surexploitation des œufs d’esturgeon et déséquilibre dans l’écosystème local.
(Prendre une zone spécifique). Le caviar est fabriqué à partir d’œufs d’esturgeon. Etant donné que c’est un met qualifié de luxueux, les surexploitations d’esturgeon sont alarmantes surtout pour le cas des affaires au noir. La nature se base sur le principe de l’équilibre, chaque espèce consommable peut être exploitée mais à un degré spécifique.
Importance de la présence des vers de terre dans les sols pour l’agriculture et l’environnement.
Les vers de terre, malgré leur petitesse, sont des alliés indispensables des sols. En agriculture, ils rendent les terres exploitables car améliorant les propriétés biologiques et chimiques de celles-ci. Les vers, grâce à leur activité systématique, évite l’érosion des sols et les ruissellements.
Réchauffement climatique, fonte glacière et adaptation des ours polaires.
On parlera surtout d’une adaptation dans le sens péjoratif du terme. La couverture de glace constituant le lieu de vie des ours polaires, ces derniers ne peuvent plus chasser normalement. Ils sont surtout forcés de s’adapter à des jeunes forcés car les chasses se font de plus en plus difficiles avec la disparition graduelle des zones de mise bas.
Les bisons : les ingénieurs méconnus de l’écosystème dans la confection du paysage.
Si ces immenses herbivores sont craints pour leur carrure, ce sont des ingénieurs souvent méconnus. Le poids, le comportement et l’alimentation du bison sont des facteurs clés de la richesse du paysage local. Entre l’acte de paitre, des excréments propices à l’incubation de larves et les marres boueuses créent après leur passage, la nature ne peut se passer de la nature.
Le pouvoir du partenariat dans la nature.
Si la nature a imposé la notion de prédation et de proie, cette loi connait une pause lors des partenariats. Mais c’est également le cas des autres liens existants entre les espèces. C’est la base de la survie et tout le règne animal l’applique. C’est le cas de la collaboration surprenante entre le phacochère et la mangouste (Timon et Pumba comme références Disney). Dans la vraie vie, la mangouste aide le phacochère à se débarrasser de ses insectes et ce dernier, en contrepartie, protège la mangouste contre les autres prédateurs.
Pollution marine et migrations forcées des espèces.
Le moindre changement apporte des modifications conséquentes à l’écosystème. Dans la nature, les pollutions déversées dans la mer poussent les espèces à migrer ou occuper d’autres zones marines. Ce qui perturbe les autres espèces et créent une nouvelle forme de chaine alimentaire et des perturbations de la flore sous-marine.
Changement climatique et variation extrême des températures d’une saison à une autre.
(Zone géographique à déterminer). Ce que nous observons depuis quelques années c’est le changement extrême des températures. En été, la chaleur est écrasante et en hiver, le froid est insupportable. Ce changement drastique perturbe la vie humaine mais également la vie de plusieurs milliards d’espèces.
Présence des perturbateurs endocriniens dans les milieux aqueux.
Les produits transformés par les humains sont bourrés de perturbateurs endocriniens. Ils se déposent sur les milieux aqueux et affectent directement les organismes et espèces locales. Des exemples concrets démontrent des anomalies chez les serpents ou oiseaux.
Vie citadine active et perturbation des animaux nocturnes.
Il existe des animaux qui se sont habitués graduellement à la vie citadine comme les hiboux. Toutefois, dans les zones développées actives, ces oiseaux prédateurs sont perturbés dans leur chasse. En effet, ils utilisent leur vue et l’ouïe pour repérer ses proies. Un mode d’attaque devenant de plus en plus difficile avec les pollutions lumineuses et sonores.
Développement humain.
Сonsommation d’aliments transformés par les animaux sauvages. Selon la profondeur de l’analyse apportée, les aliments industrialisés peuvent être un sujet tabou. La présence écrasante de l’homme a poussé les animaux à consommer ces produits. La toxicité de ceux-ci peut perturber leur organisme et provoquer des addictions de consommations par la combinaison mortelle du sucre, graisse et sel.
La politique du zéro déchet pour une approche écologique.
C’est un sujet populaire mais analysé sous un autre angle, il aide à solutionner le problème de la gestion de déchets. En ce sens, adopter une approche circulaire plus intelligente aiderait à une écologie urbaine plus saine.
Prépondérance de la préoccupation pour l’énergie solaire et accaparation territoriale.
Сommunément, la méthode la plus courante pour transformer l’énergie solaire est l’utilisation des plaques solaires. Ainsi, nous pouvons fournir de l’électricité indéfiniment. Seulement, ces plaques occupent de la place et pour les productions les plus importantes, elles exigent des terres plus vastes car chaque plaque doit être entièrement exposée au soleil (piste d’analyse : destruction des arbres, présence contrôlée des animaux).
La géothermie pour le développement urbain : évaluation de la potentialité sur le long terme.
La géothermie est l’exploitation de la température du sol pour la transformer en chaleur. Cette méthode est classée dans la catégorie des énergies renouvelables et offre une approche plus simple mais seulement en milieu aqueux.
Importance de la mentalité dans la préservation des parcs protégés.
Si les actions parlent d’elles-mêmes, c’est la mentalité humaine qui aide surtout dans protections des airs protégés. Les animaux eux savent respecter la nature, mais pas l’être humain. La conscientisation est importante pour valoriser la place de la nature et comprendre que sans elle, aucune vie n’est possible.
Décisions étatiques pour la préservation de la nature et interdiction de l’Ecotourisme.
En Thaïlande, l’Etat a appliqué l’interdiction de l’écotourisme dans certaines plages protégées. Il participe à la destruction et la dégradation de la flore et de la faune. Revoyez ainsi les décisions étatiques les plus populaires et leurs impacts autant sr l’environnement que l’économie locale.
L’innovation technologique en faveur des suivis en temps réel des cas déforestation et exploitation illégale.
Les vues en hauteur aident à analyser des situations en temps réel. Ainsi en cas de déforestation ou d’exploitation illégale par exemple, les drones identifient aisément les causes. Ce qui permet d’apporter des aides rapidement et déterminer ou situer les attaques pour arrêter le fléau.
Acceptation sociale et éthique autour de la viande cultivée.
Appelée également viande artificielle, cette viande est développée in vitro en laboratoire à base de cellule animale. Elle ne nécessite pas ainsi de tuer des animaux. Un cas qui divise surtout au niveau de l’acceptation sociale et des potentiels dangers de cette viande qualifiée d’artificielle.
La question de l’empreinte carbone.
Différence entre les végétariens, vegans et les consommateurs de viande. L’empreinte carbone est un sujet sérieux en ce qui concerne la pollution de l’air. Et l’être humain participe activement à cette question. Avec des consommations différentes, végétariens, vegans et consommateurs de viande laisse des impacts différents sur l’environnement.
Sécheresse et réduction de l’évaporation de l’eau pour une culture résiliente.
La sécheresse touche même des zones exposées à des climats humides. La cause : le dérèglement climatique. Pour solutionner ce problème sur le long terme, on peut cultiver des plantes réputées pour leur faculté à résister à la sécheresse et à réduire l’évaporation d’eau.
Des plantes naturelles répulsives comme alternatives aux pesticides.
Les pesticides, même avec la meilleure des garanties, n’est pas gage de santé environnementale. Ils sont bourrés d’éléments toxiques, impactant la qualité de la culture. Les biopesticides constituent des alternatives naturelles : des plantes comme la pyrèthre par exemple.
Conclusion
Pour un mémoire en écologie et environnement, l’idéal est d’opter pour un sujet focalisé sur une zone géographique précise. L’étude d’un biome particulier offre un champ de recherche plus approfondi et permet d’explorer des cas spécifiques voire nouveaux, jamais étudiés. Toutefois, prenez le temps d’affiner les recherches pour des réflexions plus pertinentes.